Mazzu et Van Bommel reçoivent tous deux un carton rouge dans une fin de match folle : « Du jamais vu ».

« Non, je n’ai pas encore vécu cela », a souri l’entraîneur adjoint Andries Ulderink après le match.
Ce n’est pas le T1 de l’Antwerp, Mark van Bommel, qui s’adresse à la presse dans une courte interview. Non, c’est interdit si vous avez reçu un carton rouge pendant le match. Ainsi, même Felice Mazzu n’apparaît pas devant le micro du détenteur des droits, Eleven.
Les deux entraîneurs ont un autre point commun : le mécontentement à l’égard des décisions de l’arbitre Wesli De Cremer.
Mazzu considérait que Charleroi était désavantagé lorsqu’une faute sur Ilaimaharitra dans la préparation du 2-2 n’était pas sanctionnée. Son collègue est allé demander réparation quelques minutes plus tard. Le même résultat l’attendait.
« Écoutez, à un moment donné, tout devient agité », affirme calmement M. Ulderink. « Tout le monde montait de temps en temps sur le banc pour contester les décisions ».
Quelque part, le T2 d’Anvers peut donc aussi comprendre les arbitres, qui ont essayé de tirer les ficelles un peu plus fort. « Chacun a son caractère. Je préfère rester calme dans un tel moment. »
Jelle Bataille a vu les scènes se dérouler devant lui. « Si vous voulez que les supporters deviennent complètement fous à ce moment-là, il faut absolument faire quelque chose comme ça », répond-il avec cynisme.
Le défenseur sait également que les cartons rouges n’ont pas été déterminants pour le match. « Nous ne devons cette défaite qu’à nous-mêmes », conclut Bataille. « Je ne sais toujours pas ce qui n’a pas fonctionné sur le premier but, par exemple.
Aucun carton rouge n’a été donné à The Great Old pour ses buts contre.