Dans un discours saisissant, l’entraîneur de Shachtar a annoncé un retournement de situation : « Ils devraient avoir honte du peuple ukrainien ».

La fin justifie les moyens ?

Patrick van Leeuwen est l’entraîneur néerlandais qui était assis dans le banc de touche du Shachtar Donetsk hier. Il a dû assister avec tristesse à la première mi-temps de son équipe face à l’Antwerp.

« Je leur avais dit qu’ils jouaient ce match pour toute l’Ukraine, pour les supporters qui se déplaçaient dans le stade, mais aussi pour tous ceux qui étaient à la maison », a-t-il raconté.

« Quand le score était de 2-0 à la mi-temps, je les ai affrontés. Je leur ai dit d’avoir honte ».

Outre ces mots percutants, le Néerlandais a également procédé à quelques interventions tactiques.

« Les garçons se sont ensuite redressés après la mi-temps. Ils avaient compris le message et agi en conséquence. Nous avons rapidement marqué le but de la rencontre, ce qui a permis à l’équipe de continuer à aller de l’avant.

Comme Shachtar, Anvers a également connu deux moitiés différentes. « C’est exact », acquiesce Van Leeuwen.

« L’Antwerp a commencé très fort. Nos joueurs sont devenus nerveux à cause de leur forte pression. Nous n’avons pas joué à l’extérieur, mais nous avons été surpris et nous avons donc accusé un double déficit. Nous avons donné ces deux buts beaucoup trop facilement.

« En deuxième mi-temps, les choses se sont un peu calmées à l’Antwerp et mes garçons ont compris qu’ils devaient jouer pour autre chose que le logo du club.

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  • Roger

    Hello, moi c'est Roger, passionné du FC Barcelone et d'Anderlecht, je marie le tiki-taka espagnol avec la fougue belge sur le terrain. Le Camp Nou et le Parc Astrid sont mes temples, et je vis pour le football.

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